Sur le complément alimentaire nommé "Neurosup"


Je n'ai aucun lien avec l'entreprise qui utilise le même nom que ma marque Neurosup (ma marque est déposée à l'INPI depuis 2011, donc bien avant eux). Et donc je n'en vends pas ! ;)

 

N.B. l'entreprise a simplement eu une idée marketing judicieuse :

comment apparaître, dès le lancement de votre produit, dans la première page Google des résultats obtenus par un internaute qui ne recherche pas initialement votre produit, et ceci sans dépenser le moindre euro, en termes de publicité ?

Eh bien, c'est très simple : vous donnez à votre produit le même nom qu'une autre marque (Neurosup) qui a déjà une notoriété suffisante pour apparaître en première page des résultats. Comme la législation le permet si vous ne vendez pas un produit classé par l'INPI dans la même catégorie que la marque connue. En l'occurence, moi c'est une formation ; eux, un complément alimentaire. Donc c'est légal et je ne leur en veux même pas. Bravo à eux, j'utiliserai la même technique si je dois un jour lancer quelque chose :)

Au fait, devinez ce que propose ce complément alimentaire : de freiner la chute de vos cheveux ? Non, bien sûr :) De parler cerveau, eux aussi ! Sous l'expression "contribue au bon fonctionnement du système nerveux". Et l'astuce marketing devient parfaite.

N.B. je me souviens d'ailleurs d'un sketch de l'humoriste Jean-Marie Bigard, qui parle de la même astuce en évoquant la mise sur le marché des steaks hachés du même nom :)


Sur les "Neuroclasses" et les "Cogni'classes" 


Il y a souvent confusion entre les "Neuroclasses" (classes porteuses d'un des projets Neurosup) et les "Cogni'classes" (classes porteuses du projet du même nom, dont la marque est déposée comme Neurosup l'est aussi) pilotée par Jean-Luc Berthier et dont le site est https://sciences-cognitives.fr/

 

En 2016, Jean-Luc Berthier et moi-même communiquions pour savoir comment établir un lien entre nos deux projets tout en gardant la "patte" de chacun d'eux.

Jean-Luc Berthier ayant dès cette époque, ses "entrées" auprès de tout ce qui est "officiel" (Ministres, Inspecteurs, etc.) et moi ayant les idées "du terrain" (des enseignants, des étudiants-élèves) sans erreur scientifique lors de toute communication.

Bref, une collaboration évoquée/envisagée mais qui n'a pas été possible (j'étais à l'époque enseignant à temps plein). Depuis, Jean-Luc Berthier a continué de fédérer et de faire grandir son site/son projet. Pour ma part, j'ai quitté l'Education Nationale en septembre 2022, afin de pouvoir faire bénéficier les projets Neurosup de 100% de mon temps et de permettre l'ouverture de ces projets à plusieurs secteurs de la société où la transmission de connaissances en Neurosciences Cognitives éclaire avantageusement la réalité quotidienne professionnelle.

 

Les différences des deux projets sont restées mais l'évocation de l'un par l'autre se fait encore parfois.


ATTENTION : il va sans dire que je ne cautionne pas la Guerre que mène la Russie contre l'Ukraine !


J'apporte cette précision pour qu'il n'y ait pas de malentendu lors de la lecture de l'onglet "Marques de reconnaissance" (Cliquer ici pour lire la page en question).J'ai en effet découvert par hasard que le Ministère de l'Education Russe (exigeant), avait utilisé mon intervention à TEDX pour son examen d'élite et annuel appelé "Les Panrusses", lors de l'épreuve de "compréhension orale du français" (niveau B2-B2+), en janvier 2021.

 

Cette anecdote est simplement la marque de confiance et d'intérêt pour la diffusion des connaissances en Neurosciences Cognitives, et que cette intervention la résume bien, selon ce Ministère. Cela va sans dire, mais cela va encore mieux en le disant.

 

• Pour voir ce TEDX, cliquer ICI.

• Pour lire et entendre ce test comme si vous le passiez, cliquer ICI.


Anecdote opposée


Cliquer sur l'image du livre pour le télécharger gratuitement.

Neurosup est né de la publication en 2007-2008 du très officiel rapport de l'OCDE "Comprendre le cerveau : naissance d'une science de l'apprentissage" qui incitait les acteurs de l'éducation à s'intéresser aux avancées des neurosciences.

 

Lors de la remise de ce rapport au Ministre de l'Education Nationale Française (Luc Chatel, à l'époque), le Ministre avait spontanément prononcé une phrase "déconcertante" qui, par la suite a servi de titre à des conférences et se trouve rapporté par des magazines anglais (j'en cite la source en fin de ce paragraphe ) :

 

"French neuroscientist Bruno della Chiesa met with his country's education minister in Paris to talk about the groundbreaking international movement to link the fields of teaching and brain science.

"The brain?" asked the minister. "

 

Source : https://www.thestar.com/news/atkinsonseries/2009/10/31/part_1_brains_the_secret_to_better_schools.html  en 2009, et même l'ouvrage de la très sérieuse Royal Socialty, dont un des chapitres est intitulé " Education: What’s the brain got to do with it?" : https://www.researchgate.net/publication/289994148_Royal_Society_-_Education_what's_the_brain_got_to_do_with_it


Situation en "attention sélective"

Situation en "attention partagée"