Code couleur utilisé sur cette page :

• ce qui y est écrit en noir, sera commun aux deux formations,NEUROSUP PRO et NEUROSUP EDUCATION.

• ce qui y est écrit en rougesera uniquement présent dans la formation NEUROSUP PRO.

• ce qui y est écrit en bleu, sera uniquement présent dans la formation NEUROSUP EDUCATION.


Le contenu des formations NEUROSUP EDUCATION et NEUROSUP PRO

présenté sous l'angle des situations concrètes abordées.


Toutes ces "situations de terrain" mènent à l'EFFACEMENT de nombreuses informations. IMMEDIATEMENT ou à peine DIFFÉRÉ.

On peut qualifier ces EFFACEMENTS par un autre mot, plus connu, qu'est : l'OUBLI.

 

N.B. le mot "participants", utilisé dans cette page, désigne indifféremment les personnes qui suivent le cours ou la formation de l'enseignant ou le formateur. Donc étudiants autant que salariés. Il peut désigner un participant, quelques participants ou tous les participants.

 

1. quand l'enseignant-le formateur oublie de dire sur quoi doit porter l'attention avant de poser des questions sur un document, un speech, une vidéo.

2. quand le public pense qu'il est "multitâches".

3. quand l'enseignant-le formateur le croit aussi.

4. quand le participant bavarde.

5. quand l'enseignant-le formateur souhaite avoir la même intensité d'attention durant toute la séquence.

6. quand l'enseignant-le formateur ne sait pas que selon l'activité, un style d'attention convient plus qu'un autre.

7. quand le participant ne sait pas qu'en attention sélective, le cerveau peut prendre du recul face au brouhaha ambiant.

8. quand le participant ne voit ce que veut dire pour l'enseignant, la phrase : "relis ta copie avant de la rendre".

9. quand l'enseignant-le formateur ne sait pas qu'il peut provoquer sans le savoir, l'arrivée dommageable de l'attention partagée chez le participant.

10. quand l'enseignant-le formateur ne sait pas que le cerveau analyse une situation allant du global aux détails.

11. quand le participant adopte les mêmes attitudes de lecture dans les cours-formations, que sur internet.

12. quand les réponses à donner par les participants, ne contiennent pas de doute à avoir lors de leur choix .

13. quand l'enseignant-le formateur propose un document avec une image ou un mot qui va induire une attention des participants dirigée vers une autre cible que celle souhaitée par lui.

14. quand l'enseignant-le formateur ou les participants n'utilisent pas d'astuces pour alléger la tâche de la mémoire de travail.

15. quand l'enseignant-le formateur ne dit pas aux participants quand, sur quoi, et à quoi, va servir ce qu'il est en train de dire.

16. quand les participants ne savent pas à quoi peut servir d'encadrer ou de regrouper des informations.

17. quand l'enseignant-le formateur prononce la phrase classique "ça va, tout le monde a compris ? Bon, alors on passe à la suite".

18. quand l'enseignant-le formateur ou les participants pensent que "comprendre" = "mémoriser".

19. quand le feedback associé à des questions posées aux participants, n'est pas assez rapide.

20. quand les participants ont des difficultés pour distinguer l'essentiel du secondaire.

21. quand le participant ne voit pas à quoi sert de se ré-exposer à sa leçon s'il l'a comprise, ou de faire des exercices ad hoc chez lui.

22. quand le participant ne sait pas concevoir une fiche de révision à l'aide d'indices récupérateurs au lieu d'y recopier tout le cours de manière tassée.

23. quand l'enseignant-le formateur ou les participants, ne connaissent pas la supériorité des indices récupérateurs personnels sur ceux qui sont plus "académiques".

24. quand l'enseignant-le formateur oublie qu'une prise de notes est une situation de "double-tâche".

25. quand l'enseignant-le formateur renonce à donner une anecdote car c'est elle qu'il retrouve dans les copies le jour du DS et non la notion qui va avec.

26. quand l'enseignant-le formateur ou le participant renonce à utiliser un dessin parce qu'il juge "qu'il ne sait pas dessiner" ou que "les dessins sont faits pour l'école primaire".

27. quand l'enseignant-le formateur ne présente pas une notion sous plusieurs angles.

28. quand l'enseignant-le formateur ne connaît pas le risque des "faux souvenirs" construits par les participants (à leur insu).

29. quand l'enseignant-le formateur se trouve confronté au biais cognitif dit "d'impossibilité à mettre en oeuvre cette information dans mon quotidien" ressenti ou exprimé par des participants.

30. quand les participants ne savent pas quel piège se cache derrière l'ouverture du cahier de cours en première étape d'une révision quelconque.

31. quand l'enseignant-le formateur peine à percer les raisons de l'existence des "erreurs récurrentes".

32. quand l'enseignant-le formateur ne sait pas que la "vérité" n'efface pas "l'erreur" récurrente dans le cerveau (d'un étudiant ou d'un adulte). Et qu'il s'agit que les participants "inhibent" leur choix premier, au moment de se prononcer.

33. quand l'enseignant-le formateur n'évoque pas ce qui existe aussi autour de la notion du jour car ce n'est pas dans le programme de cette année (dans le cursus des participants).

34. quand l'enseignant-le formateur ne pense pas à faire apprendre explicitement les "exceptions à une règle-situation".

35. quand les participants ne disposent pas d'astuces pour éviter les "trous noirs" lors des DS.


Le contenu des formations NEUROSUP EDUCATION et NEUROSUP PRO

présenté sous l'angle des thèmes neuroscientifiques abordés.


Thème 1 : la plasticité cérébrale

  1. la plasticité cérébrale met fin au mythe du déterminisme et au fatalisme
  2. conséquences sur les stagiaires/élèves et sur les formateurs/enseignants

 

Thème 2 : l'attention

  1. il y a plusieurs types d'attention
  2. l'attention est une donnée limitée
  3. le cerveau doit savoir où cibler son attention
  4. le vrai "multitâches" (celui au sens neuroscientifique du terme) ne concerne que 2,5% de la population.

 

Thème 3 : le cerveau passe autant de temps à effacer des informations qu'à en enregistrer

  1. il n'y a pas une mais plusieurs mémoires.
  2. le rôle central que joue la mémoire de travail dans l'acceptation, l'effacement ou la combinaison des données.
  3. le souvenir est en perpétuelle reconstruction (déformation, consolidation, amincissement)
  4. le cas particuliers des "faux souvenirs" principalement issus de la "mémoire épisodique"
  5. à quels moments et dans quelles situations, le cerveau efface-t-il volontiers des données ?
  6. comment éviter au maximum ces effacements ?

 

Thème 4 : comment restituer les informations stockées ?

  1. chaque information enregistrée est décomposée en plusieurs parties dans le cerveau
  2. comment consolider l'enregistrement de ces composantes ?
  3. le rôle des indices récupérateurs dans la restitution des données
  4. la plus grande efficacité des fiches de révision élaborées avec des indices récupérateurs personnels
  5. comment proposer aux participants un système de prise de notes, minimisant son caractère "double-tâches"

 

Thème 5 : les erreurs récurrentes

  1. chaque erreur récurrente est la généralisation (fausse) de ce qui s'avérait juste dans la plupart des cas rencontrés jusqu'alors ...
  2. toute donnée qui ne va pas dans le sens de ce que le cerveau souhaite (par confort, préférence, habitude) est carrément "ignorée" par une partie du cerveau.

 

Thème 6 : la théorie, simplificatrice mais parlante, des 3 cerveaux de Mac Lean

  1. cerveau reptilien, cerveau limbique, cortex.
  2. l'excès de stress entraîne la libération excessive de cortisol et noradrénaline, qui ont pour effet (notamment) de bloquer l'accès aux données (scolaires par exemple) stockées dans le cortex (cas classique des "trous noirs" lors des DS).
  3. le sommeil, allié de l'apprentissage.

 

Thème 7 : les systèmes de pensée S1 et S2 de Kahneman, et S3 d'Olivier Houdé

1. leurs caractéristiques et leur lien avec la prise de décision.

2. leur lien avec les "biais cognitifs" d'acceptation ou de rejet d'une information, que reçoit le cerveau.


Les modalités principales des formations NEUROSUP PRO et NEUROSUP EDUCATION


1. leur contenu nécessite 6h de présentation en présentiel. Que ce soit lors d'une journée entière de 6h (3h le matin et 3h l'après-midi) ou deux demie-journées de 3h chacune.

2. le nombre de participants n'est pas limité.

3. la tarification de ces formations ne comporte ni de TVA à ajouter, ni de frais de transport, ni de frais d'hébergement, ni de frais de restauration.

4. la demande de devis se fait par l'intermédiaire de l'onglet " contact " ou le bouton ci-dessous.

5. choix qui y sont possibles : l'offre NEUROSUP PRO, l'offre NEUROSUP EDUCATION, ainsi que toute demande s'en inspirant et adaptée à une demande de votre part (par exemple : une formation complémentaire à un projet déjà en place dans votre établissement, une formation plus détaillée sur certains points professionnels, etc.).