Formation Neurosup pour Enseignants du Secondaire


Modalités : 6h de formation en présentiel partout en France, durant une même journée (3h le matin, 3h l'après-midi).

Effectif : pas de limite d'effectif

Etablissements : collège, lycée (professionnel, technologique, général), établissements de 2nde chance, micro-lycées, syndicats.

Plusieurs établissements peuvent être présents durant cette même journée (et donc partager les frais pour que la formation soit facilement accessible à tous).

Contenu : transdisciplinaire. Ne nécessite aucun pré-requis sur le sujet. Propose des stratégies d'apprentissage concrètes, utilisables dès le lendemain en classe entière (avec de "vrais" élèves !). Pour élargir la palette méthodologique dans laquelle chacun peut "picorer", sans déconstruire ses habitudes ou ses préférences méthodologiques.

Thèmes : 50 stratégies portant sur les thèmes ressortant des enquêtes auprès des enseignants du secondaire et qui regrettent l'ampleur que ces problèmes ont pris dans les classes.

Ci-dessous, à gauche, voici le schéma résumant les remarques des enseignants.

Ironie du sort : ci-dessous, à droite, voici le schéma des "4 piliers de l'apprentissage" favorisant celui-ci (édités par Stanislas Dehaene, neuroscientifique, président du Conseil scientifique et enseignant au Collège de France).

Parfaite concordance.


Les 50 stratégies Neurosup proposent donc aux enseignants des astuces portant sur :

• les problèmes d'attention en agissant par exemple sur "l'attention sélective" et "l'étirement du temps d'attention". Etc.

• l'engagement des élèves dont la définition donnée par S. Dehaene est : "situations où il n'y a plus qu'une étape pour arriver à la réussite, ET qui demandent de la part des élèves un "effort raisonnable". Via, par exemple, des sollicitations fréquentes,  les challenges de mise en confiance, et l'autorisation donnée aux élèves d'ajouter du "personnel". Etc.

• le feedback car le cerveau procède par "essai-erreur-rectification" pour apprendre. Via, par exemple, des vrai-faux oraux avec raisonnement demandé  (métacognition), des reformulations (dépouillées) du cours. Etc.

• la consolidation de la mémoire (car comprendre n'est pas mémoriser) via par exemple, des moments dédiés à la mémorisation lors des cours, sketchnotes, flashcards. Etc.